Si c’était possible, quelle question poseriez-vous à Dieu ?
Job était un homme bon et pieux. Pourtant, ses dix enfants sont morts en même temps de façon tragique : Sa femme lui dit : « Tu persistes à rester irréprochable. Mais tu ferais mieux de maudire Dieu et d’en mourir ! »
Tu parles comme une femme privée de bon sens, lui répondit Job.
Si nous acceptons de Dieu le bonheur, pourquoi refuserions-nous de lui le malheur ?
Dans cette nouvelle épreuve Job ne prononça aucun mot qui puisse offenser Dieu » (Job 2. 9–10).
Ensuite, ce qu’on dit est essentiel : « Dans cette nouvelle épreuve Job ne prononça aucun mot qui puisse offenser Dieu ». Oui, il a beaucoup pleuré. Et il avait beaucoup de questions pour Dieu dont certaines restées sans réponse.
Pourtant voici ce qu’il dit : « Il connaît pourtant la voie où je me tiens ; quand il m’aura mis à l’épreuve, j’en sortirai pur comme l’or. Mon pied s’est attaché à ses pas ; j’ai gardé sa voie et je n’en ai pas dévié. Je n’ai pas altéré les commandements de ses lèvres ; j’ai fait plier ma volonté aux paroles de sa bouche » (Job 23.10–12).